Collection Cocu. By-CœUr Allemands. Saison Iii (7/9)

Une nouvelle fois, Karine m’a entraîné dans une galère ayant pu mal tourner.
En me demandant d’aller dire à celui que j’appelle Marcel faute d’autres noms, que leurs petits jeux, à la barbe de nos maris, étaient terminés, que je me fais baiser dans les grandes largeurs.
C’est dans les toilettes du café où nous venons boire un coup qu’une nouvelle fois je trompe Sylvain.
Le lendemain, Jules et Carole, nos s, ayant appris à nager en cinq jours, que nos hommes souhaitent une dernière halte au café sur la place, mais j’arrive à les en dissuader.
Je prétexte l’envie de boire ce verre à Thiézac village se trouvant sur notre route.
Une place, un café ombragé et des joueurs de pétanque assez loin pour pouvoir parler sans que nos maris et nos s, nous entendent en les regardant jouer.

• Karine, depuis hier, aucun moment seule pour te demander des explications sur ce qui m’est arrivé !
Comment l’homme au marcel savait que c’est moi qui viendrais pour faire ce que l’on a fait ?
Le connaissais-tu et lui avais-tu téléphoné ?
• Oui, depuis le premier jour où j’ai vu qu’il regardait sous tes jupes sans que tu t’en aperçoives.
Un regard tournant vers l’entrée du café et notre bel étalon certainement déçut que ce soit moi, s’est laissé convaincre.
Nous avons magnifiquement baisé, même si ce fut bref.
La première fois dans les toilettes et la deuxième les fesses posées sur le lavabo.
Sur le lavabo, c’était frais et pendant cette canicule, la fraîcheur a été divine.
• Oui, mais moi ?
• Ayant baisé deux fois à la barbe de Mario, j’ai décidé de lui dire que pour lui et moi s’était fini.
Il m’a demandé si tu baisais, toi aussi.
Tu penses bien que je me suis empressé de lui dire, oui, après l’orgie auprès du cerisier.
Pense à la jouissance que j’ai eue quand c’est toi qui t’es jetée dans mon piège, me suggérant de me calmer avec celui que tu appelles Marcel .


Moi aussi, j’espère que tu as apprécié mon partage.
Quand je t’ai vu pendant notre nuit avec les Allemands, te faire baiser, tu m’as montré l’envie de sexe qui t’habite.
Un petit coup de canif dans nos contrats de temps en temps, ça entretient l’adrénaline et va nous empêcher de vieillir trop tôt et trop vite.
Bon, jusqu’à la fin des vacances, je te promets de rester sage, surtout avec le pognon que va nous rapporter le ticket de nos maris.
• Attention la partie est terminée, ils reviennent.

Ils sont revenus et nous sommes rentrés.
Sylvain semble assoiffé de sexe depuis que j’ai accepté qu’il me sodomise.
Je dois dire que j’aime lorsqu’il me prend par la chatte, mais que j’apprécie les nouvelles sensations que m’apporte une bonne sodo en levrette.
À part ces moments intimes, tout est calme jusqu’au matin du 15 août.
Debout à 6 heures au lever du jour.
Voiture déjà chargée hier, nous arrivons afin de nous installer pour la brocante du village.
Pendant deux jours, nous avons vidé le grenier libérant un espace qui pourra être exploitable vu la situation de la maison.
Les hommes ont eu trois corvées.
Descendre les objets lourds jusqu’au garage, un brocanteur va passer estimer les pièces d’ameublement très anciennes.
Ce qui va être vendable pour la brocante, ils les ont mise dans un coin du garage avant de les placer dans les voitures.
Le reste s’entasse devant la maison à l’extérieur.
à oui, j’ai trouvé une vielle boîte à chaussure avec de vieille photos.
J’y ai reconnu ma grand-mère et mon grand-père ainsi que maman à diverses étapes de sa jeunesse.
Karine les regarde avant que je descende la boîte dans l’armoire de notre chambre.
Ils les emmèneront à la Déchetterie avec ce qui nous restera sur les bras après la vente.
Jusqu’à midi, Karine harangue les clients, alors que je suis plus réservée.
Je sens qu’elle s’amuse comme une petite folle.

Les heures sont longues surtout avec la chaleur, mais notre chiffre d’affaires s’annonce prometteur bien que cet argent soit loin d’être indispensable vu nos futurs comptes en banque.
Karine prend son sac à main et me laisse pour faire un tour de la brocante.
Je la vois prendre un verre à la buvette avec une femme d’une cinquantaine d’années, un peu femme patronnesse.
À l’étale voisin, une jeune femme de nos âges vend des photos très anciennes.
Le client étant rare, je vais les regarder.
Il y a de tout, presque depuis le début de la photographie, de toutes les époques.
Je tombe sur un cliché qui m’intéresse.
Que m’a dit et fait voir Karine sur l’adultère, « savoir prévoir l’avenir ».
Je veux lui acheter, elle me l’offre.
La photo rejoint l’argent dans mon sac à main.
J’ai dans l’idée de la faire rejoindre les photos dans la boîte à chaussures que je vais rapporter à Créteil.
Prévoir, prévoir, toujours prévoir.
Jannine, Véronique, Véronique et Jannine.
Je cherche dans mes cartons, ce qui pourrait lui faire plaisir.
La place où nous avons mis notre table, nous interdisait de tout exposer en une seule fois.

• Merci Jannine pour ton cadeau en rapport au mien, mais je dois le refuser, cette lampe à pétrole date d’environ la fin 1800 à début 1900.
Tu la vendais combien.
• 50 €.
• Ça vaut 100 fois plus, voire encore plus.
Si tu l’avais mis sur ton étale, à ce prix-là ce matin, un brocanteur te l’aurait acheté en premier.
Bien que ça leur soit interdit, ils font les allées le matin de bonne heure à la recherche de pièces comme la tienne vendu par des gens comme toi qui est venue vendre ce qu’elles croient être des vieilleries.
• Je te l’offre, tout de même, fait en bon usage.

Depuis notre soirée avec nos amants allemands, une chose m’obsède, je crois avoir prévu l’avenir.
Le dimanche suivant, c’est à Super Lioran que nous allons tous.

Nous nous payons à manger avec la vente de nos objets.
Le mardi suivant, les hommes et les s sont à la pêche à l’étang.
Je suis en maillot nettoyant la cuisine d’hiver.
Karine arrive vers moi et viens me prendre dans ses bras par-derrière.

• Mon cœur, j’attendais ce moment depuis longtemps.
Nos ébats avec les Allemands, le premier jour, ont réveillé mes envies de nos amours féminines.
Ils sont tous à la pêche et nous les entendrons revenir.
Viens découvrir ce que je me suis fait offrir à la brocante.
• Par la dame patronnesse avec laquelle tu as bu un verre !
• Exact, suis-moi au grenier, il reste un vieux matelas que tu as souhaité garder.
Ils l’ont descendu et je l’ai tapé pour le dépoussiérer.

Une nouvelle fois, je vais apprendre qu’elle a fait des folies avec son corps.
Mais là ça été un peu plus loin.

• Tout est parti du verre que nous avions pris ensemble.
• C’était l’organisatrice, Agathe m’a demandé si j’étais en vacances.
Je lui ai dit qui nous étions et que malgré notre grande amitié, nous étions venues, car le Portugal nous était fermé.
C’était l’heure de manger, elle rentrait chez elle et m’a invité.
Elle m’a proposé de me doucher, vu la chaleur.
• J’ai trouvé cette offre surprenante, mais je savais qu’elle avait une idée derrière la tête.
Sans aucun doute, j’imaginais ce qu’elle voulait, mais débutante dans les rapports féminins elle était hésitante, je l’ai aidée à franchir le pas.
Je me suis approchée, je l’ai prise dans mes bras et j’ai commencé à la déshabiller sans qu’elle me résiste et accepte mes lèvres.
Chérie, elle était vraiment débutante comparée à toi qui est une parfaite petite gougnotte.
• Pourquoi avons-nous arrêté de nous donner du plaisir.
Les moments à Paris quand les s sont à l’école et nos maris au travail, il suffirait que tu descendes de ton 18e.
• Où que tu montes !
• Plutôt mourir que de me retrouver, même une minute à cette hauteur.

Vous vous êtes douchés, séchés et retrouvée sur son lit.
• Que nénies, j’avais déclenché un ouragan et malgré qu’elle soit un peu plus âgée que nous, c’est sur le tapis de bain que je me suis couchée pour qu’elle me broute le minou.
• Sa langue ?
• Active, j’ai beaucoup apprécié.
Je lui ai demandé de se retourner et c’est en 69 que nous nous sommes donné un premier orgasme.
C’est là que nous avons rejoint la chambre.
Elle m’a surpris, car de son tiroir de table de nuit elle a sorti un énorme godemichet noir.
Je te rappelle ce que tu as vu, on lui aurait donné le bon dieu sans confession, impossible de penser qu’elle avait un gode avec ceinture qu’elle m’a attachée autour des reins.
Elle voulait que ce soit moi qui la prenne en levrette.
Sylvano était bien pourvu, le gode était encore plus gros.
Si tu le veux, tu me diras, si tu acceptes la sodomie comme moi je l’accepte, mais après lui avoir pris la chatte, c’est son anus qu’il m’a fallu lui perforer.
J’ai eu mal pour elle.
Mal, mais quand j’ai poussé, c’est rentré facilement.
Elle mouillait par tous ses orifices, une chienne en chaleur.
Je l’ai prise par ses cheveux nettement plus longs que son chignon pouvait le laisser voir.
Je l’ai fait se cabrer comme la jument que je faisais d’elle jusqu’à ce qu’elle s’écroule de plaisir intense.
• Elle s’est mis le gode !
• Non, elle en était incapable de quoi que ce soit et c’est pourquoi, lorsque nous sommes rentrées, j’ai sauté sur le frigo.
Je t’attendais et j’ai partagé les casse-croûte que nous avions préparés avec la jeune femme qui vendait des photos.
• Tu aurais pu la baiser.
• Mais tu es une vraie obsédée, tu crois que comme toi, je suis prête à sauter sur tout ce qui bouge.
Met moi le gode, tu connais les sensations de se sentir homme avec une queue.
Je voudrais, moi aussi ressentir ces sensations.

Elle m’arnache,
Est-ce le poids du godemichet, dès qu’il est solidaire de moi, j’ai l’impression d’un poids au niveau de ma propre chatte.
Est-ce qu’un homme ressent les mêmes sensations que celles que je ressens ?
Il me manque quelque chose, à oui, la fellation, car contrairement à de rares fois ou Sylvain m’a montré l’impérieuse envie de me sauter, il a fallu que je travaille avec ma bouche pour avoir la même rigidité que celle de Marcel.
Toujours cet homme qui m’obsède, ignorant le nom du beau gosse m’ayant sauté dans les chiottes finit par m’obséder.
Karine en place en levrette, je pointe sa chatte qui absorbe sans aucun problème et sa grosseur et sa longueur.
À part un gros cul que j’empoigne faute de cheveux me permettant, comme cette salope, cachant bien son jeu de les tirer pour la faire hennir...

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